2011
Concert de piano et violoncelle le 26 novembre 2011 à la Mairie de Pirae
Le Programme du concert du 26 novembre 2011 à 18 heures à la Mairie de Pirae
SCHUBERT Sonate en la mineur D.821 pour arpeggione et piano
écrite en 1824 et publiée en 1871
Elle est contemporaine de son Quatuor « La Jeune fille et la mort » et a été composée alors que le musicien souffrait déjà d'un stade avancé de la syphilis (les premiers signes remontent à 1822) avec des épisodes dépressifs de plus en plus fréquents.
Il s'agit probablement d'une commande de son ami Vincenz Schuster, guitariste affirmé, qui s'est passionné pour cet instrument nouvellement créé. On ne compte aujourd'hui qu'une douzaine d'exemplaires dans le monde (copies comme originaux).
Elle est jouée de nos jours essentiellement par un violoncelle ou par un alto
Elle comporte trois mouvements :
Allegro moderato
Adagio
Allegretto
RACHMANINOV Vocalise, op. 34, n ° 14
Chanson publiée en 1912 . Ecrite pour la voix ( soprano ou ténor ) avec piano, accompagnement,
Transcription de Léonard Rose
FAURE Après un rêve op. 7
Romance écrite en 1871 pour voix et piano-transcription de Pablo Casals
FAURE La Pavane op. 50 en fa dièse mineur
œuvre symphonique avec chœurs, écrite par Gabriel Fauré en 1887.
Transcription de H.Busser
DEBUSSY Sonate en ré mineur
fait partie des dernières œuvres du compositeur, écrite en quelques jours entre la fin juillet et le début août 1915, lors du séjour de Debussy à Pourville au bord de la mer, en dépit des premiers signes d'affaiblissement du compositeur.
CHOPIN Scherzo n°2 en si bémol mineur, op.31
Composé en 1837 à Paris. , Il est dédié à la comtesse Adèle de Fürstenstein.
L'une des marques de fabrique de Chopin.
BARTOK 15 Hungarian Peasant Songs, Sz.71
Composition de 1918
TYZEN HSIAO 萧泰然memories of home suite no.1
Compositeur taïwanais de l’école néo-romantique.
Pianiste et chef d’orchestre TYZEN HSIAO 萧泰然 enseigne à Los Angeles
SCHUBERT Trio en mi bémol majeur pour piano et cordes no 2, D. 929
œuvre de musique de chambre composée en 1827.
Samedi 26 novembre à la Mairie de Pirae à 18 heures
Avec Yi Bin CHEN OLAZCUAGA, Marie HUGOT, Simon PILLARD
Récitals de piano, violoncelle : Œuvres de Bartok, Debussy, Schubert, Fauré, Rachmaninov, Chopin
Prix des places :
-Adhérents 3000 francs
-Non adhérents 4500 francs
-Jeunes et étudiants : 1000 francs
Réservation adhérents :Colette Cartier 42 47 54 ou cartier@mail.pf
Renseignements : 78 80 62
MUSIQUE en POLYNESIE
Association régie par la loi du 1er juillet 1901, créée en 1986, Journal Officiel du 10 mai 1986
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Deux concerts des YEUX NOIRS dans leur tournée mondiale 2011
LE MERIDIEN - Tahiti : les 23 et 29 octobre 2011
En live avec Eric et Olivier Slabiak, violons,
Frank Anastasio,guitare et chant,
Dario Ivkovic,accordéon,Julien Herné,basse,
et Aidje Tafial, batterie
Depuis 1992, et avec plus d’un millier de concerts autour du monde, Les Yeux Noirs continuent leur périple tzigano-rock et yiddish-pop ! Un voyage épique dans un monde hors frontières, flamboyant, grisant une aventure au pays des Roms et des poètes !
Le groupe Les Yeux Noirs a été créé par Eric et Olivier Slabiak. Avec un premier prix du Conservatoire Royal de Bruxelles en poche, les deux frères courent les différents cabarets et restaurants où se jouent les musiques d’Europe de l’Est. Ils y apprennent leur métier et le vaste répertoire tzigane et yiddish dont ils se sont pris de passion, passion communiquée par leurs oncles, eux-mêmes musiciens. Léo le violoniste a longtemps joué avec Joseph Reinhardt et Charlie, à la contrebasse, a accompagné Django.
AUTOUR DU MONDE.Dès la sortie de leur premier album en septembre 1992, Les Yeux Noirs se produisent pour de longues séries de concerts à Paris au Sentier des Halles, puis au Théâtre Trévise et à l’Européen. Leur formation instrumentale est alors acoustique : deux violons, un violoncelle, un accordéon, une guitare et une contrebasse.
Après l’Européen viendront le Trianon, l’Olympia, la Cigale, le Cirque d’Hiver, l’Elysée Montmartre, le Théâtre des Champs Elysées, le Palais de Congrès (en première partie de Claude Nougaro), le Théâtre du Châtelet, la salle Gaveau, l’Alhambra...
En dehors des scènes parisiennes, Les Yeux Noirs tournent aussi en France et dans le monde. Depuis 1993, les Yeux Noirs se sont produits sur les scènes du monde entier, dans les cinq continents : Allemagne, Angleterre, Argentine, Australie, Belgique, Bornéo, Cambodge, Canada, Canaries, Djibouti, Ecosse, Erythrée, Espagne, Etats-Unis, Ethiopie, France, Grèce, Hawaï, Hongrie, Ile Maurice, Ile de la Réunion, Indonésie, Italie, Kenya, Madagascar, Martinique, Norvège, Nouvelle Zélande, Pays-Bas, Polynésie française, Roumanie, Singapour, Suisse, Thaïlande, Turquie...
En 2001, le groupe entame une prestigieuse carrière aux Etats Unis, avec plus de 250 concerts en huit ans.
En 17 ans, Les Yeux Noirs ont donné près de 1200 concerts, et ont notamment été invités à se produire sur des scènes prestigieuses tels que : Symphony Space - New York, Symphony Hall - Chicago, Hollywood Bowl et Royce Hall - Los Angeles, Kennedy Center - Washington, Spectrum de Montreal, Théâtre Royal de Bangkok, l’Opéra de Sydney, Teatro Franco Parenti de Milan, Olympia - Paris, WOMAD (Singapour, Australie, Espagne, New Zeland), Millenium - Budapest, Festival International - Buenos Aires, Festival d’été de Quebec, Festival Interceltiques de Lorient, Francofolies de la Rochelle...
Revue de presse :
Tiganeasca - Le Monde
Les Yeux Noirs Tiganeasca Le groupe des frères Eric et Olivier Slabiak(violons et voix) formé en 1992, signe son huitième album. Toujours inventif et virtuose, le groupe fait une nouvelle relecture des répertoires yiddish et tzigane, s’arrêtant notamment sur Dona Dona, célèbre comptine yiddish, qu’a chantée autrefois Joan Baez, ou encore Ashun Daje Mori, un titre de la chanteuse serbe Liljana Buttler, surnommée «la mère de l’âme gitane», morte en avril 2010. Une succession d’univers zébrés d’éclairs de joie ou plombés de sombres mélancolies auxquels participent le guitariste argentin Tomàs Gubitsch, le clarinettiste Yuri Shraibman et Smadj, venu avec ses
machines apporter une touche électro. On appréciera la remarquable prise de son de cet enregistrement, réalisé en 2009, à l’église luthérienne de Bon Secours, à Paris.
P. Labesse Sortie le 4 novembre 2010 chez Zig-Zag Territoires / Harmonia Mundi
Zikannuaire
Cette alchimie mystérieuse entre yiddish et tzigane, ça vous dit quelques choses ? j’ajoute un peu de jazz ? toujours pas ? Et si je vous parle des Yeux Noirs...Après dix huit annnées de carrière, Eric et Olivier Slabiak dévoilent ce huitième album «Tiganeasca». Conçu comme un assemblage de souvenirs après avoir retrouvé des archives sonores familiales, ils nous emportent littéralement dans le temps, dans un doux murmure sonore issus de leur enfance. Ils marchent vers leurs influences premières avec cet effort hommage. Quinze titres forgés dans le passé avec des titres révélateurs comme «Lomir zikh iberbetn» (réconcilions nous) et «A brivele di mame» (une lettre à la mère)
Un album riche, aux couleurs variées et plein de saveurs, qui nous offre un véritable périple dans le temps avec une multitude d’interprètes de talents.
Sortie le 4 novembre chez Zig Zag Territoires / Harmonia Mundi
Tiganeasca - Yahoo music france
Les Yeux Noirs : «Tiganeasca» (Zig-Zag Territoires/Harmonia Mundi). Ce huitième album, enregistré dans l’acoustique naturelle d’une église luthérienne parisienne, est un régal pour les fans du répertoire yiddish et tziganes. Les violonistes Eric et Olivier Slabiak, qui ont fondé le groupe en 1992, ont dédié ce disque à leur oncle Léo, violoniste et à leur grand- mère Esther, boulangère et chanteuse à ses heures perdues. Toute la mémoire yiddish est mêlée avec finesse à des sonorités actuelles. Guitare swing, batterie, accordéons serbe et jazz, cymbalum tzigane rumain, sans oublier la clarinette klezmer. Un voyage dépaysant dans la gaité. Les Yeux Noirs seront en concert à Paris à l’Halambra les 3,4 et 5 décembre.
Sortie le 4 novembre chez Zig Zag Territoires / Harmonia Mundi
Presse-suite
Fondé en 1992 par Eric et Olivier Slabiak, Les Yeux Noirs sortent leur tout premier Best Of sous la forme d’un « double » CD. L’objet réunit leur toute première compilation et un enregistrement public. A l’heure où leur ensemble yiddish arrive à l’âge « adulte », celui de « la jeune fille
aux Yeux Noirs qui, le vent à la main, descendait de l’Oural... » - chantée par leur ami Philippe Léotard dès 1998 sur le déchirant Oï Tzigané, ici placé en ouverture de la compilation – ce premier bilan est une étape importante et logiquement très attendue dans leur carrière longue et riche en rebonds.
Live - OPRE SCENA
Le Live est issu d’un concert Radio France enregistré à Aix les Bains. Il cueille le groupe en 2007. Maturité et majesté s’embrassent le temps d’un récital à la grandeur de tous ces lieux magiques où leurs violons s’enivrent et s’envolent sans relâche depuis près de deux décennies, tour à tour slaves et tziganes, roumains ou macédoniens, tout à la fois noceurs, diseurs, sortilèges, fouets, soupirants, cavaliers... Avec eux, toujours, un bel entourage orchestral qui vit avec son temps et, pas à pas sans forcer, se renouvelle depuis le premier Live de 2002. On y croise le bel accordéon de Vincent Peirani, les solos rageurs du fidèle Aidje Tafial à la batterie, les bonnes vibrations groove du bassiste Kevin Reveyrand et les accords charnels du guitariste Frank Anastasio...
Autant de disciples qui savent tendre - et retendre ! et détendre ! - les folles courses tziganes vers des énergies plus actuelles qu’il n’y paraît, funk trip-hop ou free jazz. Au besoin, ils savent aussi faire dérailler le tout pour mieux reprendre... sur un tempo encore plus dingo ! Le tout est agrémenté d’un film DVD de 13 minutes réalisé par Olivier Slabiak, montage d’images de concerts, d’interviews, de voyages.
Compilation - BEST OYF
La compilation, elle, sort forte de quinze plages qui traversent leurs cinq albums studio : A Band of Gypsies (1992), Suite (1994), Izvoara (1997), Balamouk (2000) et Tchorba (2004). Réputé pour chacune de leurs apparitions publiques, Les Yeux Noirs sont indissociables des galops et transes tziganes. Shows enivrants et généreux garantis. Invariablement acrobates et énergétiques, ces numéros virtuoses finissent toujours, aussi, par se tresser à des airs plus nostalgiques et doux... Parce qu’il faut reprendre son souffle – et ce, même quand on ignore obstinément les instruments à vent pourtant chers au style Klezmer. Mais aussi car « ce qui est passé n’est plus», « Vos Iz Gevein » dit la chanson, dûment reprise ici... De fait, le jeu bien singulier des Yeux Noirs a appris, chemin faisant, à se faire volontiers rock, à sublimer les sauces intimistes toutes faites, à dépasser les intentions acoustiques toutes propres. Il y a même pris goût depuis Balamouk, l’album de leur maturité en forme de renaissance ouverte à des arrangements plus contemporains, des audaces harmoniques et mélodiques encore plus personnelles. Bon vivant, le groupe sans cesse explore, se réinvente, avive son sens de la déroute au défi d’une scrupuleuse loyauté envers le répertoire brassé depuis les débuts,...
Yiddish et contemporain
Ceci explique cela, la compilation n’oublie pas «Les Deux guitares» chères à Aznavour, ni les incontournables «Danse des Flèches, Hora de Mina», ou encore «Djelem», l’hymne international tzigane... Elle s’éclate aussi, telle une fleur qui renaît, sur la fameuse «Yiddishe Mame», la complainte qui fait pleurer toutes les mères juives, redécouverte avec des accents trip-hop lors de l’album Balamouk. Sur la compilation, c’est également Tchayé qui dévoile une sensation nouvelle, cette fois au détour d’un remix endiablé et néanmoins chanté, pour l’heure encore méconnu et resté inédit.
Etincelle et double-enfance
Car dans le son comme dans le regard tendu des Yeux Noirs, il y a toujours un détail qui reste à cerner, une étincelle qui éblouit et qui s’échappe aussitôt, sans doute parce qu’elle tient du rêve autant que de la lumière, et porte autant de mystères que de souvenirs. Ce sortilège est sans aucun doute très musical, et un peu cosmique aussi. Il ne faut pas plus d’une fraction de seconde à cette étincelle pour passer du regard d’Olivier à celui d’Eric. Au risque de s’y égarer, l’interlocuteur ne pourra que deviner les reflets d’une double enfance poétique et voyageuse, bariolée par la magie de deux violons enlacés, virtuoses, acharnés. Il fallait s’y attendre, les multiples souvenirs des deux frères musiciens sont inextricables, comme s’ils relevaient du même amalgame, du même envoûtement. Olivier en a rassemblé quelques extraits choisis dans son film dvd offert avec le Opre Scena : des archives du Womad, le festival de Peter Gabriel dont ils sont des fidèles, des extraits d’interviews et de concerts piqués tantôt aux télés roumaines, américaines ou argentines... On y retrouve notamment les Yeux Noirs, dernièrement pris en flagrant délire dans un grand festival à Buenos Aires, devant 15 000 spectateurs tellement transportés par leurs fugues que la bousculade est évitée de peu, la sécurité sur les dents... En fin de compte ils auront tout fait : la manche, les mariages, les cabarets, les concerts festifs, les festivals extravagants comme Buenos Aires, sans oublier les plus beaux théâtres assis.
« Dans tous les cas, promet Olivier, on tâche toujours d’aller le plus loin possible dans la manière de sortir de soi, de ramener toutes les bonnes sensations sans jamais oublier que ce que nous faisons, c’est avant tout une musique de transe et d’imperfection. »
« En transe, ajoute Eric, on ne peut l’être qu’avec le public. Il ne s’agit pas d’une performance physique mais d’un voyage vers un son, une âme, une fusion qui se traduit par de beaux sourires, des rires et même parfois des larmes dans le public. Ce sont toujours des moments d’émotion très intense, très au-delà des mots. »
Souvenirs et sortilège
Du festival d’Avignon, tremplin de leurs débuts, en passant par la tournée des centres culturels d’Afrique de l’est et par tous les Bataclans, Cigales et Olympias du monde, de Tel Aviv, de Sydney et de New York, les souvenirs fusent encore... C’est sans doute en écoutant leur musique qu’on revient à l’essentiel : des réminiscences impalpables et pêle-mêle qui embrouillent les souvenirs de la vraie vie à ceux, plus enfouis, de familles imbibées de musiques tziganes et manouches depuis des siècles. Sur le Live, un précieux moment de leur spectacle : celui où l’on découvre la voix fine et assurée de leur grand-mère Esther chantant Vos is Gevin en Yiddish... Pour Eric et Olivier, ce genre de sensation est indissociable des odeurs entêtantes de la boulangerie familiale, sise au coeur du Marais à Paris. Un sanctuaire inattendu mais où les Slabiak se sont souvent retrouvés en musique, et où les oncles Charlie et Léo, violonistes professionnels, amenaient leurs amis, à commencer par Joseph Reinhardt et ses compagnons du Hot Club de France... Adrien, leur cadet, le père d’Eric et Olivier, pianiste et saxophoniste resté amateur à cause d’un pouce cassé, a reporté son ardeur sur ses enfants : Nathalie l’aînée pianiste, Lara la benjamine violoncelliste, et bien sûr les frères violons, Eric et Olivier... Ils furent la fierté de la famille et les petits virtuoses de l’école du spectacle bien avant d’inventer Les Yeux
Noirs. D’où leur triple culture aujourd’hui pleinement assumée et revendiquée : classique de par leurs cursus parallèles de premiers prix du conservatoire de Bruxelles, rock de par toutes les musiques qu’ils écoutent (ils adorent Tom Waits et Portishead, Björk et David Bowie), et évidemment yiddish de par la famille et les aïeux arrivés de Pologne à Paris dans les années 20... Dans un tel bain, peut-on avancer à quel âge on a connu Yankélé, La danse des flèches ou Yiddishe mame ? Pas sûr. Pourtant, interroger l’enfance peuplée de violons et d’airs yiddish, de saveurs et de débordements doux amers, Eric et Olivier Slabiak ont appris à le faire et à l’apprécier. Jusqu’à en faire l’une des plus belles raisons de vivre et de continuer à voyager dans la folle course du temps... au nom des Yeux Noirs.
Alexis Campion
Billets en vente au Méridien à 3500 francs et 1⁄2 tarif pour les jeunes de moins de 12 ans
Pour les Adhérents : contact et réservations : Colette Cartier : 42 47 54 ou cartier@mail.pf
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Récital triomphal de Hyon LEE le 25 septembre 2011 au Méridien Tahiti
Récital triomphal de Hyon LEE au Méridien-Tahiti dimanche 25 septembre 2011.
Musique En Polynésie a débuté sa saison 2011-2012 qui marque la date anniversaire de sa création (1986) par un récital de chant lyrique exceptionnel.
La chanteuse franco-coréenne Hyon LEE, accompagné au piano par la pianiste Yi Bin CHEN OLAZCUAGA, a totalement envouté le public par ses prouesse vocales, son jeu de scène très gracieux et l’éclatante interprétation des œuvres, en toute simplicité
L’association avait demandé à l’artiste de proposer un programme éclectique, plus accessible à un grand public.
Le challenge n‘était pas évident pour un chanteur lyrique que de passer de « la Fioraia Fiorentina » de Rossini ou « l’Air de la Reine de la nuit » à « Summertime » de Gershwin!
Hyon LEE a surmonté aisément ce pari et c’est la première fois, en Polynésie française et tout au moins lors d’un concert de Musique En Polynésie que le public fait une « standing ovation » à l’artiste en fin de première partie !
La deuxième partie du spectacle scellait définitivement la relation du public à la cantatrice qui sollicitait encore deux bis !
Hyon LEE était accompagné par Yi Bin CHEN OLAZCUAGA que le public polynésien a le plaisir d’apprécier depuis bientôt un an. Et la pianiste offrit des interprétations en solo d’œuvre parfaitement maîtrisées comme « La Polonaise » de Chopin ou une composition de son maître Tysen HSIAO.
A la sortie, Hyon LEE accorda un grand moment à tout ceux qui voulait partager avec elle ces quelques moment de bonheur musical.
Hyon LEE a accepté , durant son séjour polynésien de donner quelques Master Class et des cours particuliers, y compris à des débutants.
Elle donnera un récital ce vendredi à l’hôtel Le Méridien de Bora-Bora
La salle du Méridien-Tahiti sera probablement comble dimanche prochain 2 octobre à 17 heures pour le dernier récital donné par Hyon LEE.(renseignements 78 80 62 ou mep@mail.pf ou www.mep.blog4ever.com et facebook : Musique En Polynésie).
Récitals de chant lyrique avec Hyon LEE
Musique En Polynésie
fête son 25ème anniversaire en 2011
Pour ce premier concert de l’année musicale 2011-2012
MEP invite
La cantatrice Hyon LEE
Accompagnée au piano par
Yi Bin CHEN OLAZCUAGA
les Dimanche
25 septembre 2011 et 2 octobre 2011
à 17 heures
à l’Hôtel Le Méridien
Biographie : Hyon LEE
Depuis l'âge de 5 ans, Hyon LEE chante en public, encouragée par son entourage qui lui trouve une jolie voix. Elle apprend le piano et la flûte traversière.
A l'école, lors du choix d'une langue étrangère, elle décide d'apprendre le français et c'est tout naturellement qu'à 18 ans elle choisira la France, et plus particulièrement Lyon, pour faire ses études musicales au Conservatoire National.
Elle dit de la France que "c'était le pays de mes rêves", synonyme de charme, d'élégance et de culture.
En 1997, elle intégrera le Conservatoire National Supérieur de Paris (où elle rencontrera le baryton Polynésien Steeve Mai) et poursuivra ses études par un diplôme supérieur de perfectionnement en chant.
Parallèlement à sa formation et aux nombreux concours dans lesquels elle est distinguée, elle est engagée à l'Opéra de Graz (Autriche) et partage alors son temps entre l'Autriche et la France.
Elle prend la nationalité française.
Ces dernières années elle a, entre autres, tenu les rôles de la Reine de la Nuit (Flûte Enchantée de Mozart), d'Olympia (Les Contes d'Hoffmann d'Offenbach), de Musetta (La Bohème de Puccini) ou de Lucia (Lucia di Lammermoor de Donizetti) en Allemagne, en Belgique ou en Autriche.
Hyon LEE donnera des Masters Classes de chant lyrique durant son séjour polynésien et pourra aussi, sur demande, donner des cours particuliers.
Yi Bin Chen Olazcuaga
Yi-Bin Chen Olazcuaga a déjà donné deux récitals pour Musique En Polynésie et animé de nombreuses manifestations dans notre Pays, depuis le début de son séjour il y a un an.
D’origine Taïwanaise, elle possède le diplôme universitaire (Piano Performance, violon et chant) de l'Université nationale normale de Taiwan .
En 1989, elle est admise sur audition dans le très prisé et prestigieux conservatoire « New England Conservatory » de Boston.
En 1991, elle obtient son Master en Piano Performance qui se clôture par une tournée remarquée aux Etats Unis et Taiwan.
À Boston, elle est chef d’orchestre et directeur musical de la "Société Cambridge Choral" et du "Chinese Music Ensemble de Boston" où elle donne de nombreux concerts dans la ville de Boston et notamment à l'Université d’Harvard .
En 1994, elle suit le programme de Doctorat de Musique Arts (DMA) en piano performance, elle poursuit ses études à l'University of Southern California (USC). Puis suit son époux et exerce son art un peu partout dans le monde.
Et depuis 2010, grâce à son mari nommé pour deux années en Polynésie française, elle met son talent et son amour de la Musique au service des mélomanes et musiciens du Fenua.
Programme :
Deux programmes seront proposés avec des compositions de
Rossini ,Debussy,Chausson ,Poulenc ,Duparc J. Strauss ,R. Strauss ,Gershwin ,
Kosma ,Gounod ,Offenbach ,etc
pour les deux récitals avec des oeuvres communes et quelques surprises musicales…
Tarifs pour les concerts:
adhérent : 3000 francs
Non adhérent : 4500 francs
Jeunes et étudiants : 1000 francs
Renseignements ,réservations :
Adhérents : Colette Cartier au cartier@mail.pf ou au 42 47 54
La billetterie est aussi ouverte une heure avant le Récital.
-www.mep.blog4ever.com
-Facebook : Musique En Polynésie
-Courriel : mep@mail.pf
-Téléphone : 78.80.62
MERCI
à nos partenaires :
Banque de Polynésie, Total Polynésie, Air France, Electricité de Tahiti, Air Tahiti, Lan Airlines, les Hôtels Le Mériden, les Hôtels Intercontinental, Le Conservatoire Artisitique de la Polynésie française, Décoflor, Ofaiputuputu Fare d’hôtes Raiatea, Club Découverte, Primmo, Musicales de Tahiti, Air Tahiti Nui, La Dépêche de Tahiti, Les Nouvelles de Tahiti, Tiki Mag, Fenua TV, Polynésie Première , TNTV, Radio 1, Taui FM, Imprimerie Polypress, Université de la Polynésie française ,Tahiti-Agenda, Tahiti Infos, Polypress,Tahiti Urban Pub
MUSIQUE en POLYNESIE
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Concert du duo Violoncelle Piano Simon Pillard et Marie HUGOT
Musique En Polynésie
fêtera son 25ème anniversaire en 2011
Pour ce dernier concert du premier semestre 2011
MEP invite
Le duo Violoncelle Piano
Marie Hugot et Simon Pillard
le Dimanche 22 mai 2011 à 18 heures
à l’Hôtel Le Méridie
Biographies :
Marie Hugot
Marie HUGOT a suivi ses études de piano au Conservatoire National de Région de Lille
où elle obtient le 1er prix de piano et musique de chambre.
Par la suite, elle se perfectionne dans le Cursus d’accompagnement dans la classe de Christophe Simonet.
Elle entre au Conservatoire Supérieur Régional de Paris ( CNR ) et y obtient un 2ème prix de piano dans la classe de Brigitte Bouthinon-Dumas.
Elle donne de nombreux concerts notamment en musique de chambre avec une préférence pour les formations en Trio (Piano-Flûte-Alto ).
Marie HUGOT participe au Festival annuel de musique de chambre d’Ambleteuse (Nord-Pas-de-Calais et aux Concerts au château de Ville-d’Avray , en tant que soliste.
Après une jeune carrière de soliste et concertiste en métropole, Marie HUGOT s’installe en Polynésie française en 2007 où elle participe à de nombreuses manifestations musicales auprès d’écoles de musique , d’association et du Conservatoire.
Elle accompagne notamment en 2009, la Compagnie Théâtrale Philippe Ermelier (Paris) pour la présentation de « La Vie Parisienne » d’Offenbach .
Depuis la rentrée 2010-2011, elle assure l’enseignement du piano au Conservatoire Artistique de Polynésie française .
Simon Pillard
Il commence ses études de violoncelle à l’âge de sept ans au CNR de Nantes, dans la classe de Danièle Merand. Après l’obtention de son diplôme de fin d’études ,il entre dans la classe de Paul Boufil au Conservatoire National de Paris et obtient une médaille d’or en instrument et une médaille d’or en musique de chambre .
Il entre ensuite en 1989 dans la classe de Jean-Marie Gamard au CNSMDP.
Il y suit également la classe de musique de chambre avec successivement Messieurs Pennetier, Pidoux, Heisser, Ami Flammer.
Il se perfectionne alors auprès de Messieurs Perreny et Starker et Noras .
Parcours professionnel
1998 - 2011 - Professeur de violoncelle auprès Conservatoire Artistique Territorial de la Polynésie Française ,Papeete.
Chargé également de la classe de Musique de Chambre et de la
Direction de l’Orchestre de Jeunes Élèves . En tant que seul violoncelliste professionnel sur le territoire, je bénéficie des possibilités de participation à toutes les manifestations culturelles musicales du pays.
1998 -2nd violoncelle Solo de l’Orchestre Pasdeloup Paris :
Concerts à l’Opéra Comique, Salle Pleyel, Eglise de la Madeleine.
Cours de violoncelle dans les Conservatoires d’Ile de France:
Blanc-Mesnil, Hauts de Seine, L’Hay les Roses.
Basse continue dans plusieurs ensembles vocaux à Vézelay,
Saint Pourçain, Clermont-Ferrand.
1997 - 2nd violoncelle solo de l’Orchestre Pasdeloup Paris
Suppléant et remplaçant à l’Orchestre National de Lille.
Professeur particulier.
Concert de Musique de Chambre.
Enregistrement de musiques des films « Mauvais Genre » et
«Ici c’est l’Enfer ,j’irai au Paradis »
1996 - Suppléant et remplaçant à l’Orchestre National de Lille.
Enregistrement de Pelleas et Mélisande et des Contes d’Hoffman
Récital solo Galerie Devarieux Jordan , Paris
Deux Récitals de Musique de Chambre à la Sorbonne .
1995 - Participation auprès de l’Orchestre National de Lille ,
au Festival des Holland Music Sessions d’Amsterdam,
et au Festival de L’Académie Ravel de St Jean de Luz.
1994-Deux concerts avec l’Orchestre Colonne à Paris.
Création d’un Festival de Musique de Chambre à Dakar.
Enregistrement de Musique Contemporaine avec l’Ensemble Arte Viva .
1993 -Etudes en Conservatoire et Ateliers divers de Musique Comtenporaine
1992 -Musique de Chambre avec l’Ensemble Catanandre.
1991 -Activités de Musique de Chambre.
1990 -Tournée de Musique de Chambre avec l’Ensemble Vocal des Petits chanteurs à la Croix de Bois, en Floride USA.
1989 -Musique de Chambre avec Harmonia Nova.
Formation
1994 -Prix de fin d’Etudes du CNSMDP violoncelle.
1993 -Ateliers de Musique Contemporaine.
1992 -Certificat de lecture à vue et de formation musicale.
1991 -Premier Prix à l’unanimité Trio avec Piano CNSMDP.
-Deuxième Prix Trio à cordes.
1989 -Médaille d’Or du Conservatoire National de Paris en Violoncelle.
-réussite au concours d’entrée en classe de violoncelle au CNSMDP.
1988 -Médaille d’Or du Conservatoire National de Paris en Musique de Chambre.
1986-1985 -DFE en Violoncelle, mention Très Bien des CNR de Nantes et de Paris .
Programme :
KODALY, sonate Op.8. Premier mouvement
FAURE , Elégie Op.24.
BRAHMS, sonate pour piano et violoncelle
En mi mineur OP.38.
---------------------
LISZT , Méphisto valse
TCHAIKOWSKY Variations Rococo OP.33.
CASSADO, Danse du Diable vert de Gaspar
DEBUSSY, Sonate
POPPER , OP.39
Tarifs :
adhérent : 3000 francs
Non adhérent : 4500 francs
Jeunes et étudiants : 1000 francs
Nous consulter pour tarifs de groupe
Renseignements ,réservations :
Adhérents :Colette Cartier au cartier@mail.pf
Non adhérents : billets en vente à partir du lundi 16 mai 2011
À la boutique HEIPOE de l’hôtel SOFITEL Maeva Beach
La billetterie est aussi ouverte une heure avant le Récital.
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